Bonnes fêtes à tous mes lecteurs et meilleurs vœux pour une année 2021 qui n’aura pas de mal à être meilleure que l’année 2020 ! ;-/
A noter que même mon Blog Note a été atteint par la Covid : j’y ai perdu l’outil qui permet à mes lecteurs de s’abonner et donc plus de mails pour les anciens abonnés : il faut recommencer la procédure (voir en bas de page).
Et voici 3 minutes de musique de circonstance (2e quatuor à cordes, Larghetto)
de faire mourir Carmen sous les coups de son amant, à la fin de son opéra ?
C’est l’avis de Leo Muscato, metteur en scène d’un nouveau Carmen à Florence. Il réécrit la fin de cet Opéra et fait mourir Don Jose sous les coups de Carmen.
Pourquoi ? « En cette époque marquée par le fléau des violences faites aux femmes, il est inconcevable qu’on applaudisse au meurtre de l’une d’elles » nous dit-il.
Carmen, pauvre victime, pauvre « petite chose » …
Excusez moi, Monsieur Muscato, mais sur un plan moral, est-il moins grave de tuer un homme plutôt qu’une femme ?
On nous communique:
Pour la rentrée de Septembre 2017, MusiComposer vous propose:
Un Concert-promenade de Musique de films
de 1908 à 2013, de Camille ST SAËNS à Ennio MORRICONE … et Delerue, Rota, Glass, etc….
sur des films: D’André Calmette à Jane Campion …. et Hitchcock, Fellini, Godard, Truffaut, etc….
Jeudi 7 septembre à 20H, Eglise du Bon-Secours -20, rue Titon 75011 PARIS Entrée Gratuite – Libre participation aux frais Un verre de l’amitié vous sera offert à l’issue du concert
Sur des transcriptions d’Eric CORMIER pour l’Ensemble MUSICARMONIA, vos reconnaitrez les thèmes de films célèbres et légendaires:
L ‘assassinat du Duc de Guise (1908),
Il Bidone (1955),
La Strada, North by Northwest (1959),
Psychose,
La dolce vita (1960),
Huit et demi, Le Mepris (1963),
La Califfa (1970),
Les deux anglaises et le continent, I Clowns (1971), Amarcord (1973),
le dernier métro (1980), Meurtre dans un jardin anglais (1982),
Que faire un jour de pluie et de grand vent quand on passe à Tournus?
Visiter l’abbaye, bien sûr!
Et là, c’est la grande surprise, l’émerveillement total: Nous voici face à une grande église-forteressse du IX-XII » siècle, du plus parfait style roman.
On entre dans un imposant vestibule (le narthex), un endroit très sombre, avec d’imposants piliers ronds de pierres brutes; on descend quelques marches pour pénétrer dans la nef centrale par une allée surprenante de luminosité – pour une église romane. On admire la hardiesse des voûtes (plus de 18 mètres !), l’impression est étonnante. Une technique de voûtage pratiquement unique a été mise en œuvre: la voûte en berceau transversal. Chacune des 5 travées est couverte d’une voûte de pierre en plein cintre, dans sa largeur, s’appuyant ainsi sur sa voisine au lieu de peser lourdement sur les murs latéraux. Continuer la lecture de L’Abbaye Saint-Philibert de Tournus→