Samedi 28 mai 2011 (19H00 – 21H00)
Auditorium de la Cité Internationale des Arts de Paris
Concert « Poètes et Musiciens 1 »
Participants :
Compositeurs : Etienne Champollion, Jean-Louis Péru, Jean-Armand Moroni, Eric Cormier, Jean-Louis Foucart, Christophe Armanet, Yves Rinaldi.
Pianistes : Etienne Champollion, Takako Igarashi-Pentier, Yves Meierhans, Eric Cormier.
Flûtistes : Marjorie Missemer, Eric Seys.
Chanteurs solistes : Ursula Barrière, Isabelle Malet, soprani ; Léa Kamoun, mezzo-soprano, Roberto Poma, Damien Roquetty, ténors.
Chœur de Chambre ArteMisiA, direction : Christophe Armanet.
Prise de son : Richard Long.
Œuvres programmées :
1 : Néole, pour flûte et piano (J-L.PERU). Marjorie Missemer / Etienne Champollion
2 : Mélodies pour ténor (E.CHAMPOLLION), Etienne Champollion /Damien Roquetty
3 : La cigogne qui faisait l’éloge des longs cous (J-A.MORONI). Ursula Barrière/ Damien Roquetty / Etienne Champollion / Chœur de Chambre Artemisia
4 : Minoiselle (J-L.FOUCART). Léa Kamoun / Etienne Champollion
5 : Vergers1 : L’invisible ; Vergers 2 : Un dieu ; Vergers 3 : Le sublime, trois mélodies sur des poèmes de R-M.Rilke (C.ARMANET). Roberto Poma / Takako Pentier / Chœur de Chambre ArteMisiA
6 : Paysage avec nuage et dunes (Y.RINALDI). Léa Kamoun / Etienne Champollion / Eric Seys / Chœur de Chambre ArteMisiA
7 : Quatre arias d’opéra (Y.RINALDI). Isabelle Malet / Yves Meierhans
8 : Vocalise pour flûte et piano (E.CORMIER). Eric Seys / Eric Cormier
9 : Colombine, pour piano (J-L.FOUCART). Etienne Champollion.
10 : Couleurs entrelacées, pour flûte et piano (C.LAGACHE). Marjorie Missemer / Etienne Champollion.
Certaines pièces de musique alterneront avec des lectures de poésies.
La plus fameuse Carmen du XXème siècle vient de s’éteindre le 7 mai dernier à son domicile de Neuilly-sur-Seine. La photographie ci-contre la montre dans le rôle titre de la célèbre bohémienne sévillane de Bizet, échevelée et sensuelle, image nouvelle pour une époque encore marquée par un folklorisme de pacotille hérité du siècle précédent. Dirigée par Roberto Benzi qui fut un enfant prodige de la direction d’orchestre et devint ensuite son époux, cette production de 1959 du plus célèbre opéra de Bizet, mise en scène par Raymond Rouleau, fit date dans l’histoire de l’opéra.