… en chansons ! Chantons avec les goguettes cette époque étrange, virtuelle et numérique où l’on est à la fois partout et nulle part, avec ces vidéos :
Et chantons gaiement les mots de cette époque :
… en chansons ! Chantons avec les goguettes cette époque étrange, virtuelle et numérique où l’on est à la fois partout et nulle part, avec ces vidéos :
Et chantons gaiement les mots de cette époque :
Un latin de cuisine d’une rare loufoquerie dans un pastiche brillant de polyphonie à quatre voix, avec la distanciation sociale requise, voici l’œuvre remarquable de Benoit Dumon : Motet pour le temps de confinement.
Il nous faisait un jazz chantant, dansant, un jazz œcuménique étrangement moderne. Cet homme avait parcouru le monde, toutes le époques, s’inspirant de toutes les musiques rencontrées, mais on y sentait toujours l’origine africaine.
Je l’ai vu en concert il y a fort longtemps, à Créteil. Il respirait la joie de vivre, le plaisir de jouer. Sous les applaudissements répétés, et malgré la sono tonitruante, il semblait ne vouloir jamais s’arrêter, vivant son propre enchantement avec son saxo, riant, chantant parfois, infatigable.
Manu Dibango avait 86 ans. Il était déjà malade avant que le vilain virus ne le rattrape et l’emporte, ce matin.
Ici son célèbre « Soul Makossa » – 1973
Ce chat m’a dit : souris ! 🙂