Serions-nous devenus fous pour aller écouter du Leoš Janáček un soir de la Saint-Valentin ? N’est-il pas ce compositeur réputé austêre et sombre dont on connaît si peu les œuvres hormis sa petite renarde rusée ? Faisant fi de ces apriori, beaucoup de mélomanes auront pourtant répondu à l’invitation de Jean-François Zygel . Une nouvelle leçon du maestro intitulée « Janáček et l’expressionnisme » ça ne se refuse pas.