Grâce à une émission musicale radiophonique, prise au vol, je ne l’ai (re)découvert que très récemment ce géant du piano, au jeu à la fois herculéen et si émouvant : Lazar Berman, « ce fauve dont la sonorité colossale peut vous plaquer au mur » selon l’expression d ‘Etienne Moreau*
Le silence relatif qui entoure les noms des très grands interprètes et dont nous faisons souvent la connaissance que bien trop tard, est une des grandes énigmes de notre temps. Continuer la lecture de Lazar Berman joue Franz Liszt