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Bonnes fêtes avec Climat-III, J.F. Zygel et Rimski-Korsakov

Bonnes fêtes à tous !

Et pour ceux qui aiment ma musique voici  mon petit cadeau de fin d’année, mon dernier ouvrage de 2023, la video du 3e mouvement Climat III de ma Suite symphonique Climats.


Comme précédemment, la partition défile au rythme de la musique (casque et écran requis) 
Et aux autres, à tout ceux qui aiment la Grande Musique Classique je recommande le dernier enregistrement des  Clefs de l’orchestre de Jean-François Zygel avec l’analyse de Schéhérazade de Nikolai Rimski-Korsakov, une heure et demi de plaisir, disponible jusqu’au 09/04/2024 !

Bonne écoute, bonnes fêtes et à bientôt sur mon blog !

 

 

 

Climat II, pièce symphonique

Bonjour Chers lecteurs

J’ai le plaisir de vous présenter aujourd’hui Climat II,  le deuxième mouvement de ma « Suite Symphonique », durée 4 mn.

Comme précédemment, la vidéo présente la partition qui défile au rythme de la musique. A écouter de préférence sur un casque et en plein écran.

L’originalité de cette production est ici dans le rendu sonore, réalisé par une IA (intelligence artificielle). Bien sûr la partition est écrite par mes soins mais j’ai utilisé cette IA (nourrie des œuvres de grands compositeurs classiques tels Beethoven, Moussorgski, Chostakovitch, etc.) pour qu’elle la joue avec son propre orchestre comme le ferait un vrai chef d’orchestre.

Quel en est l’intérêt, me demanderez vous ?

  • Gagner du temps (fabriquer un rendu sonore est long et fastidieux)
  • et surtout me surprendre avec une interprétation qui n’est pas complètement la mienne…

A vous de me dire éventuellement ce que vous pensez du résultat en commentant ci-dessous. C’est ici

Bien cordialement
Jean-Louis Foucart

– mon blog : www.foucart.net
– mon site de compositeur:                   jeanlouisfoucart.com

Climats

Bonjour Chers lecteurs
J’ai le plaisir de vous présenter ma dernière composition, le premier mouvement d’une « Suite Symphonique » intitulée Climats, une œuvre toute simple qui dure 4 mn.
La vidéo présente la partition qui défile au rythme de la musique. A écouter sur un casque de préférence et en plein écran
C’est ici :

A ceux qui préfèrent le piano, je propose une oeuvre plus ancienne : Colombine
Bonne écoute.
J’aurai plaisir à lire vos commentaires !

NB : A ceux qui connaissent et apprécient les concerts,  activités musicales et culturelles de notre association MusiComposer :  vous pouvez soutenir son action avec un don défiscalisé ICI.
Bien cordialement
Jean-Louis Foucart

mon blog : www.foucart.net
mon site : jeanlouisfoucart.com

Fazil Say

A la lecture d’un compte rendu du concert de Fazil Say au Festival d’Auvers-sur_Oise, je me suis souvenu d’un concert du 12/11/2006 de l’O.N.F. consacré aux musiques américaines, dirigé par Kurt Mazur, avec Fazil Say au piano. Voici un extrait du billet que j’ai fait à cette occasion concernant la prestation de Fazil Say :

Hier (12/11/2006), on ne peut pas dire que le pianiste Fazil Say, (un surdoué comme on en voit peu) nous interprétait du Gershwin, non. En fait il se jouait du piano (comme on se joue de quelqu’un) avec la complicité de Gershwin. Très vite, on a compris que c’était pour lui l’occasion d’entamer une conversation avec son piano comme on le fait avec son voisin de table à  la terrasse d’un bistro; ils se sont raconté l’histoire de Rhapsody in blue. Pendant que le piano lui disait quelque chose dans les aigus, le pianiste le regardait affectueusement, le menaçait du doigt en souriant de la main gauche, et le piano de lui répondre immédiatement dans les graves; alors le pianiste balayait tout le clavier d’un revers de ses mains de prestidigitateur pour signifier que graves ou aigus, telle n’était pas la question. Et le piano de lui répondre d’une petite voix plaintive. Alors le pianiste tendait son bras vers le premier violon, derrière lui, la prenant à  témoin de sa bonne foi, et cette dernière, une jeune femme compréhensive de lui répondre immédiatement en musique avec tout l’orchestre. C’était fascinant. D’aucun me diront que c’est là  le cinéma habituel d’un grand concertiste. Je ne crois pas, ce dialogue était trop naturel, trop évident. Et l’orchestre, et la salle?
Avant l’entracte le public en délire avait ovationné ce pianiste génial, l’implorant de revenir encore et encore nous refaire un tour de sa magie musicale – et il obtempéra, bien sûr avec une improvisation sublime sur le thème de Summertime, façon à  la fois très jazz (c’est aussi un excellent pianiste de jazz) et très classique. Pour finir il se fit pousser amicalement dans les coulisses par le maestro, ne sachant plus comment résister à  ces ovations répétées. La scène se renouvela en fin de concert.

(Le billet entier est à lire ICI)