Un vieux film tourné par un américain voyageur,Burton Holmes en 1920.
Paris a t-il tellement changé ?
Et pendant qu’on y est, autre film patchwork des années 1900_1930, mais cette fois colorisé et en musique :
Un vieux film tourné par un américain voyageur,Burton Holmes en 1920.
Paris a t-il tellement changé ?
Et pendant qu’on y est, autre film patchwork des années 1900_1930, mais cette fois colorisé et en musique :

Réédition du 6 juillet 2010, un billet d’ Yves Rinaldi
Artiste italien, né en 1934 à Borgofranco d’Ivrea (Piémont), Giovanni Anselmo est une des figures de proue de l’ARTE POVERA, principal mouvement d’avant-garde conceptuel italien apparu au début des années 1960.
ARTE POVERA : UN RETOUR VERS UNE MATIÈRE SIGNIFIANTE
Plus qu’un simple « mouvement » artistique né de la contestation d’une société marchande alors sûre de son éternelle prospérité, ARTE POVERA se veut plutôt une « attitude » de certains jeunes artistes italiens qui s’interrogent, comme tant d’autres de leurs collègues français du NOUVEAU RÉALISME ou encore américains du POP ART, sur les dérives consuméristes d’un société erratique, semblant avoir égaré la notion de sens, au détour d’une allée d’un de ces supermarchés, présentés alors comme les nouveaux temples de cités devenues tentaculaires. En ce sens, ARTE POVERA s’inscrit tout à fait dans l’émergence simultanée de deux courants clés de l’art de l’après-guerre : le HAPPENING (ou art « événementiel ») et l’Art CONCEPTUEL, dont les « Ready Made » des années 1910-1920, de Marcel Duchamp constituent les prototypes « historiques ».

Alors que les américains du POP ART, tel Andy Warhol, détournent l’imagerie publicitaire pour la tourner en dérision et « fabriquer » de nouvelles icônes comme on fabrique des boite de soupe en usine et que les Français du NOUVEAU RÉALISME recyclent les ordures ménagères et autres carcasses de voitures pour en faire des œuvres d’art livrées aux mannes du marché, les Italiens d’ARTE POVERA optent pour un recours systématique à des matières « pauvres », de préférence naturelles (Giovanni Anselmo, Giuseppe Penone) ou encore industrielles mais « brutes » (Mario Merz, Luciano Fabro). Continuer la lecture de Giovanni Anselmo : « un gris qui s’allège vers l’outremer »
Voici une petite video souvenir de ce beau musée visité en juin 2015, une video musicale, bien-sûr !

Étonnant ce que nous raconte cet article du Monde sur ce tableau célèbre de Claude Monet, Impression, soleil levant, la toile qui devait donner son nom au mouvement pictural.
Une étude scientifique permet aujourd’hui d’affirmer que « l’impressionnisme est né le 13 novembre 1872, à 7 h 35, dans une chambre d’hôtel du port du Havre. C’est en effet ce moment précis, une demi-heure après l’aube, que Claude Monet a choisi de fixer pour réaliser Impression, soleil levant. Le Musée Marmottan, à Paris, vient de rendre publique l’information, à l’occasion de l’ouverture, jeudi 18 septembre, de l’exposition consacrée au joyau de sa collection. Pour en arriver là, il a fallu plusieurs années d’une enquête aux confins de l’art, de l’histoire et des sciences, sonder la mer et les cieux, fouiller les documents d’époque et faire tourner de puissants programmes de calcul des trajectoires célestes. Une aventure conduite par une équipe pluridisciplinaire française et… un astrophysicien américain. »
Je vous laisse découvrir cet article passionnant ICI. Continuer la lecture de Monet, 7H35 le 13/11/1872