Laurent Juillet, qui reçoit le 1er prix du Concours du Salon de musique des compositeurs associés pour sa piêce « A l’ombre des lumiêres clandestines » proposée au concours dans le style musique de film.
Au-delà des qualités de cette partition, le jury a considéré et voulu récompenser le travail de ce compositeur pour l’ensemble de ses musiques de film, et notamment pour « Canyon », le final du film « Fair Play » Toutes nos félicitations à l’heureux gagnant ! 🙂 Plus de détails bientôt, quandmon fournisseur d’accês internet, Orange/France Telecom aura réussi à me rétablir la liaison internet à mon domicile car pour l’instant je fonctionne avec des moyens de fortune. :-/ Mais ceci est un detail. Encore bravo a Laurent Juillet!
Ceci étant, Sicmu a raison sur le fond du problème : il faut absolument que les candidats puissent prouver, d’une manière ou d’une autre qu’ils sont capables de produire des pièces de plus de 4mn.
C’est la moindre des choses, sauf à ne pas se (faire) prendre au sérieux…
Et c’est quand même mieux quand précisément c’est la pièce proposée qui fait au moins 4 minutes ! :-/
Alex,
Ne le prends pas mal, mais je trouve que tu accordes trop d’importance à la règle. Nous ne sommes pas, Dieu merci, chargés de décider du gagnant d’un appel d’offres public, ni d’attribuer un prix de 10 000 € avec réglement déposé chez huissier. Nous essayons simplement d’avoir un concours sympathique, où¹ l’on connaît tous les concurrents et toutes les œuvres présentées – ce qui en soi est déjà contraire au fonctionnement d’un concours.
La moitié des pièces présentées ne faisaient pas les 4 minutes réglementaires. On aurait donc pu s’en émouvoir avant.
Amicalement,
Jean-Armand
Exact !
Mais le jury est souverain! 🙂
Il a tenu compte de l‘ensemble de la production – malheusement sous Sacem – de ce compositeur pour faire son choix a la quasi unanimite des votants.
Je ne comprend pas, le réglement dit que les pièces soumises au concours doivent faire au moins 4 minutes, non ?