Le Queyras, Olivier Messiaen

Quel rapport, direz-vous? Mes vacances, bien sà»r – oui, Thomas, elles ont été bonnes! Ces vacances m’ont promené (pour la 25e fois!) dans les Hautes Alpes,

Plus précisément dans mon beau pays de montagnes du Queyras.
Mais aussi, au pays de la Meije, toujours dans les Hautes Alpes, � La Grave où¹ se tient tous les ans depuis huit ans le festival Messiaen. J’y ai assisté � un concert de clôture exceptionnel avec le « Quatuor pour la fin du temps » que nous donnait le pianiste Michel Béroff et sa brillante petite équipe de solistes réunis pour la circonstance, avec notamment un jeune clarinettiste impressionnant de talent, Florent Héau. Bel avenir, ce jeune homme!
Quelle musique magnifique, ce quatuor! Que ceux qui se disent insensibles � l’harmonie (et même les autres!) écoutent ces accords sublimes du piano dans le 5e et surtout dans le 8e et dernier mouvement, accompagnantque dis-je? précédant, guidant, magnifiant le soliste (violoncelle, violon). Musique de la fin du temps, de l’éternité, ou tout simplement musique éternelle.
A part cela, j’ai reçu en mon absence ce mail d’ Antoine459 posté sur le forum ecouter-musique@googlegroups.com:

Je n’aime pas trop ce style. Il ya quelque chose de bà¢clé, maintenant je ne suis pas expert non plus. A la premiêre écoute je n’ai pas trouvé cela três classique ni symphonique. En allant sur le site j’ai révisé mon jugement. Disons qu’avant d’écouter cet artiste je me faisais une certaine idée de ce genre de musique. »

Que faut-il en penser? Antoine n’aime pas ma musique, c’est sà»r, – mais peut-être a t-il découvert une nouvelle planête musicale?