Boulez: une grande baguette, une grande gueule…

Hilarant, cet article sur Boulez dans un grand journal du soir.

Pierre Gervasoni signe un article dans Le Monde d’aujourd’hui sur Boulez qui vaut son pesant de rigolade. On y apprend qu’il n’y a pire langue de vipêre que Boulez parlant de ses contemporains, spécialement des compositeurs, � croire que le polémiste a plus de talent que le compositeur (mais ça on peut toujours en discuter sur un espace membres, il est fait pour cela 🙂 Donc Boulez traitait Jolivet de Joli navet, parce que ce dernier n’aimait pas sa musique.Alban Berg était la derniêre fleur de serre du postromantisme, avec tous les avatars que cela entraine.La production postérieur � Noces trahit cher Stravinsky un épuisement accéléré qui se manifeste par une sclérose dans tous les domaines.Arnold Schoenberg explora la méthode dodécaphonique avec une telle persistance dans le contresens qu’il se rencontre difficilement dans l’histoire de la musique une optique aussi erronée.Sans oublier Olivier Messiaen (son maitre en harmonie!) dont le coté purement harmonique hérissait les plus indulgents. Plus indulgent que Boulez, tu meurs!

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