J’ai écrit cette petie pièce pour piano (5 mn )en 2005.
La voici réinterprétée avec quelques petites modifications et publiée pour la 1ère fois sur YouTube, avec une partition animée.
Bonne écoute !
Le cauchemar de l’actualité
Monet, 7H35 le 13/11/1872
![](http://jenl.pagesperso-orange.fr/images/soleil-levant2.jpg)
Étonnant ce que nous raconte cet article du Monde sur ce tableau célèbre de Claude Monet, Impression, soleil levant, la toile qui devait donner son nom au mouvement pictural.
Une étude scientifique permet aujourd’hui d’affirmer que « l’impressionnisme est né le 13 novembre 1872, à 7 h 35, dans une chambre d’hôtel du port du Havre. C’est en effet ce moment précis, une demi-heure après l’aube, que Claude Monet a choisi de fixer pour réaliser Impression, soleil levant. Le Musée Marmottan, à Paris, vient de rendre publique l’information, à l’occasion de l’ouverture, jeudi 18 septembre, de l’exposition consacrée au joyau de sa collection. Pour en arriver là, il a fallu plusieurs années d’une enquête aux confins de l’art, de l’histoire et des sciences, sonder la mer et les cieux, fouiller les documents d’époque et faire tourner de puissants programmes de calcul des trajectoires célestes. Une aventure conduite par une équipe pluridisciplinaire française et… un astrophysicien américain. »
Je vous laisse découvrir cet article passionnant ICI. Continuer la lecture de Monet, 7H35 le 13/11/1872
« Mon coeur se serre »
Avant d’écrire son bouquin à scandale qui me révulse assez pour que je ne puisse pas envisager de le lire (1), Jacques Drillon dans le Nouvel Obs nous apprend que « Valérie Trierweiler a lu beaucoup de livres (qui l’ont sauvée, dit-elle). Elle sait donc qu’il ne faut jamais se priver de quelques clichés bien sentis, que «mon cœur se serre», que «les souvenirs affluent» qu’«une vague de nostalgie m’envahit», et qu’on «se ferme comme une huître». Qu’il faut savoir enchaîner les merveilles, et viser le poétique, sans craindre la surenchère: «Dormir sans rêver, sans la douleur qui creuse son sillon, sans la colère qui me ravage, le manque qui me dévore.». »
Je n’ai pas lu ce bouquin mais je reste assez voyeur pour m’intéresser à ce qu’on en dit. :-/
Et l’article de Jacques Drillon intitulé Au fait, comment écrit Valérie Trierweiler? est trop marrant pour que j’en épargne la lecture à mes lecteurs.
A gouter, ce passage : Continuer la lecture de « Mon coeur se serre »