« Le Grand » Legrand, comme disait Nougaro est mort.
France Musique lui tend un bel hommage :
https://www.francemusique.fr/comedies-musicales/mort-de-ichel-legrand-clap-de-fin-67914?
« Le Grand » Legrand, comme disait Nougaro est mort.
France Musique lui tend un bel hommage :
https://www.francemusique.fr/comedies-musicales/mort-de-ichel-legrand-clap-de-fin-67914?
A l’automne 2008, Olivier Calmel recevait le prix de composition de Musique Harmonie (devenue l’association MusiComposer), l’occasion d’une interview mémorable !
Depuis, comme on le voit ci-contre, le jeune homme a fait son chemin.
Bravo, Olivier !
Bonne année à tous mes lecteurs : Je souhaite à tous une vie plus aimable, avec moins d’incivilités, plus de responsabilités; et parce que la culture compte autant que le travail, beaucoup de bonne musique pour les mélomanes et d’inspiration pour les compositeurs.
En petit cadeau, voici une tendre balade un peu jazzy
que j’ai revisitée récemment
J’étais hier soir au théâtre du Rond Point, à Paris, pour voir le spectacle de François Morel, composé sur des textes et sketchs de Raymond Devos. Un spectacle gentillet, loin de la prestation étourdissante de cet artiste complet qu’était Devos, tel que je l’ai vu il y a… longtemps.
A la sortie, la librairie du théâtre m’a donné à voir le dernier livre Anagramme à quatre mains que publie Karol Beffa et Jacques Perry-Salkow. Quel bonheur que ce petit livre éblouissant d’une intelligence espiègle, mêlant le génie de l’auteur d’anagrammes à l’humour du musicologue !
Je ne résiste pas à en publier un extrait ( exemple en gras) concernant Lully, le surintendant de la musique royale remarqué dans sa prime jeunesse par le Duc de Guise qui, de passage à Florence cherchait « un joli petit italien » pour sa nièce (voir ci-conte la statue d’Adrien Gaudez du jeune Lully exposée au Petit Palais ).
Arrivé en France en 1646, mort à Paris en 1687, le musicien servit le roi pendant près de quarante décennies. Ses succès lui valent de fortes inimitiés. Toujours en butte aux jalousies et aux intrigues courtisanes, ainsi passa la quarantaine d’étés de Monsieur Lully.