Archives de catégorie : Musiques classiques et jazz

Galaxies, poème symphonique de Jean-Pierre Nouvel

Mon Cher Jean-Pierre, J’ai bien reçu aujourd’hui le disque « Galaxies », ta nouvelle composition (seconde version, en fait) que tu m’avais annoncée récemment. Beau graphisme, belle pochette d’ailleurs.
Je l’ai donc mis dans mon ordinateur, le lecteur Windows media s’est mis en route (et ses belles images d’accompagnement, j’aime !), à  pleine puissance (tu sais que j’ai aussi une systême HiFi dans mon studio), et là 
Là  je suis resté scotché, réellement scotché ! Dans mon fauteuil sans bouger pendant 25 mn !!!
C’est fini, et j’ai du mal à  m’en remettre ! Bon, ça va mieux, je le remets, et je l’écoute à  nouveau, moins fort, pendant que je tape ce billet
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LA POLYCHORALITE ESPAGNOLE AU XVIe SIECLE

C’est Castafiora, rédactrice invitée qui signe cette chronique du concert donné à l’Eglise des Blancs Manteaux à Paris le 3 mai 2007, concert de ARSYS Bourgogne et Les Basses Réunies dirigé par Pierre CAO dans des œuvres de PUJOL, CEREOLS & COMES Dans le programme des Grands Concerts Sacrés (Philippe Maillard Productions), j’ai choisi ce concert à cause des termes "Polychoralité" et "espagnole" et à cause du chef, Pierre Cao. Ce billet me donne l’opportunité de vous parler 1. d’un concert rare interprété par Arsys Bourgogne et Les Basses Réunies 2. de Pierre CAO, chef d’orchestre et chef de choeur 3. de Thomas de Grunne, facteur d’orgues
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– Concours permanent de composition: et de trois !

Face à  l’offre importante de ce semestre de musique sur le forum des adhérents (prês de cinquante œuvres proposées !) pour notre Concours permanent de Composition, le jury a délibéré avec quelques difficultés, pour finalement décerner… trois prix ! Le premier prix décerné à  l’unanimité va à  Yves Rinaldi, pour son œuvre : « Il lui disait ».
Voilà  ce qu’en dit Jean-Pierre Nouvel, membre du Jury :
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CANTATES ITALIENNES XVII et XVIIIèmes siècles

(C’est Castafiora, rédactrice invitée qui signe cette chronique du concert produit par Philippe Maillard donné salle Gaveau le 20 avril 2007 par Sandrine PIAU, soprano, Sara MINGARDO, alto, avec Luca Peverini, Violoncelle, Ugo di Giovanni, théorbe, sous la direction du claveciniste Rinaldi ALESSANDRINI, dans des œuvres de d’Alessandro Scarlatti, Giovanni Salvatore, Nicola Porpora, Antonio Vivaldi et Georg Friedrich Haendel)

Sara Mingardo
Sandrine Piau
Rinaldi ALESSANDRINI

 

 

 

 

 

Le concert commence avec une cantate de Scarlatti : « Ce séjour paisible et ombreux », où il est question de brise légère, de rossignol et de repos. Nous nous croyons dans la paix et la sérénité d’un paysage idyllique mais les tourments de l’amour vont venir troubler la quiétude, et les chanteuZoiselles vont se changer en tragédiennes tourmentées, désireuses de s’endormir pour toujours car qui peut savoir si l’amour est une source de plaisir ou de souffrance. Nicola Porpora, compositeur italien (1686-1768) connu du grand public pour avoir fait chanter le célèbre castrat Farinelli (1) succède à Scarlatti avec l’histoire de Tirsis, jeune homme amoureux d’une belle qui porte des noms divers dans la légende mise en vers par de nombreux poètes. Sandrine Piau doute de la fidélité de son bel amant et exprime des sentiments divers : crainte, douleur, doute……. jusqu’à l’espoir : « Mais je sais aussi que l’espoir s’attire la constance d’un cœur qui toujours a peur que sa fin soit proche ». Toutes les cantates reposent sur ce dilemme : amour, source de plaisir et / ou de malheur. Les deux cantates finales sont des morceaux de bravoure :
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