Du onzième Cabaret Classique de Jean-François Zygel

(Je passe la plume avec plaisir à notre amie Mazurka)
Mais qu’espèrent donc les mélomanes qui se rendent volontiers au cabaret classique chaque semaine ? Que leur sert-on dans leur cabaret favori ? Quelles boissons exquises ? Un long concert ? Un cours classique et sérieux en bonne et due forme ? …/…

Certes non ! Ce n ‘est pas tout à fait la même ambiance que celle rencontrée il y a peu dans les incontournables Leçons de Musique de Jean-françois Zygel ! Pourtant le cabaret zygélien agrémenté de pirouettes et autres fins mots d’esprit, n’est point du tout dépourvu d’enseignement précieux et la science musicale (car il s’agit bien de cela ) est toujours dispensée sur un mode ludique. Le cocktail fait maison qui y est servi n’est pas sans surprise, même si on en connaît désormais certains ingrédients à savoir : une curiosité musicale, un invité de renom, deux chanteurs d’oiseaux, le coin du collectionneur, un mélodrame time, quelques improvisations, la fameuse « minute » du professeur solfège, une réclame en musique, un thème musical particulier et en conclusion, un générique en musique énoncé par l’hôte lui-même.

Ce Dimanche 19 novembre, le onzième cabaret classique était placé sous le signe plaisant du « voyage ». Voyage dans le temps musical, voyage intérieur, voyage parmi les œuvres d’un même compositeur. Voyage harmonique dans la technique de composition de Schumann, appelé par Zygel « l’homme de l’emprunt », (harmonique) emprunt à la fois net et furtif, si caractéristique tel une autre invitation au voyage…Voyage aussi dans l’ évocation des siècles passés (les moines du 13 ème siècle sonnant matines !) grâce aux sonorités fluettes échappées des boîtes à musique de Jean-Yves Patte et aux migrations des diverses mésanges rassemblées là par les deux chanteurs d’oiseaux picards, Jean Boucault et Johnny Rasse.

La première pièce entendue qualifiée de « curiosité » par JFZ lui-même s’intitule Hommage à Pablo Casals . (Quant au prénom du compositeur Casals, il semble bien que les deux prénoms « Pau » et « Pablo » soient corrects, selon que l’on s’exprime en catalan ou en castillan. Les éditeurs de partitions de musique les utilisent tous deux, on le constate en parcourant livres et partitions, certains penchent peut-être pour « Pau », en rêvant au prénom d’origine du compositeur ou alors même en pensant à la Catalogne). C’était en tous cas une chance de pouvoir entendre une œuvre du compositeur Jean-François Zygel. Saisissant orchestre en effet, composé exclusivement de violoncelles ! Une armée en vérité, 133 violoncelles, l’affaire n’est pas banale ! Une armée «bourdonnante comme une ruche » ou mugissante comme la mer, une musique très expressive qui suggère et donne à voir . Elle n’aurait pas déplu à Ravel, dans cette caractéristique de défi qu’elle semble relever : confier à plus d’une centaine de violoncelles une partition d’orchestre , autrement dit une armée d’instruments semblables signifiant la diversité de l’orchestre : forcément on doit répartir les rôles et rendre perceptibles à la fois la variété et la multitude (tessitures, phrasés, jeux d’archet, crescendo, rythmes percussifs, thèmes lyriques) . Partition dédiée à Casals, sûrement, mais on se prend en l’écoutant à rêver à Honegger et peut-être bien aussi au pathétique Mahler. Un beau défi musical plutôt réussi.

Le voyage en pays schumannien avait de quoi retenir notre attention, cette « coulée schumanienne » comme le dit lui-même JFZ avait pour but de nous présenter sans aucun répit ni autre silence plusieurs pièces du compositeur romantique, entre lesquelles Zygel tint le pari d’ improviser sans en avoir l’air. ( Henri Demarquette fit d’ailleurs allusion à la peur du vide, du silence entre les pièces jouées. Le silence musical serait-il d’ailleurs assimilable au vide ?) Au fond Zygel et Demarquette ont promené et régalé leur auditoire comme l’aurait fait Moussorsky au sein de ses célèbres « tableaux ». Pour fêter Schumann rien de mieux en effet que de jouer l’ opus 73 ou des pièces pianistiques, celles des Scènes de la forêt – ainsi « l’oiseau prophète ». Les deux interprètes ont réellement enchanté leur public. Henri Demarquette, violoncelliste de renom, nous mit également en appétit en nous incitant à découvrir d’autres œuvres de Schumann ( n’a t-il pas fêté Schumann en jouant son concerto six fois cette année ?) et s’exprimant sur l’esprit de la musique de Schumann il expliqua que le qualificatif de « mouvant » lui venait souvent à l’esprit.

Puis ce fut le tour des boîtes à musique que Jean-Yves Patte fit sonner pour nous, rouvrant grand les portes de l’enfance ( avec la Berceuse de Brahms, une petite Polka) mais aussi évoquant un certain univers prisé par Ravel. Quel dommage que l’on ne puisse pas visualiser ces petites merveilles de mécanique musicale à l’écran, le cabaret classique est parfois cruellement visuel. Puis Zygel évoqua la polytonalité utilisée par Milhaud et invita Jean-Yves Patte à « polyboîter », entendez-bien : superposer des tonalités, donc ici superposer les mélodies des charmantes boîtes à musique. A l’approche du générique de fin d’émission, on entendra le polyboîtage organisé, enrichi tour à tour des chants des mésanges des deux oiseaux John et Johnny et du piano de JFZ.

Parmi les excellents dialogues humoristiques et pinces sans rire, la palme revient cette fois-ci à Jean-Yves Patte et Zygel dans leur présentation des boîtes à musique. Ré-écoutez- les bien, ils se répondent dans un très vif jeu de ping-pong… On ne peut qu’admirer la souplesse de JFZ qui jongle avec une si grande aisance dans ses fonctions (ou ses costumes ?) de pianiste, de compositeur, de professeur, et d’amuseur au sens noble du terme. On l’a parfois comparé à un illustrissime animateur français et le compliment n’est pas mince, mais quel pari incroyable de vouloir être le passeur d’une réelle passion auprès de tous ! Il faut être un peu fou pour s’être lancé dans cette aventure musicale… Zygel donne l’impression de vouloir être sur le champ de bataille, présent et partout, tel Mozart dirigeant et tenant lui-même le glockenspiel dans les représentations de sa Flûte enchantée. Y aurait-il un quelconque danger de dispersion, perçu par certains auditeurs, et guettant le maestro ? Risque d’affadissement qui menace même le plus pur des sels marins ? Il faut être extrêmement savant pour user d’un langage aussi limpide et simple que le sien, que l’on mesure à cela le talent du personnage. On aime à penser qu’il est réfléchi et qu’il saura bien s’entourer et se ménager pour durer…et perdurer.

Mais au cabaret dominical, on l’aura compris, ce grand initiateur de la musique reçoit des amis musiciens, et il en fait profiter tout son public sans s’adresser directement à lui, sauf dans la très sympathique« minute du professeur Solfège », le ton est vraiment à la distraction …intéressante. Certaines allusions musicales entendues méritent d’être développées dans les cabarets à venir, ainsi « la tonotechnie », le personnage de « Dom Bedos », les chants respectifs des mésanges (nonette, mésange charbonnière, mésange noire).Ce double hommage diffusé ce soir là, dédié surtout à Casals et à Schumann, présenté sous le signe du voyage, était subtilement accompagné de l’ omniprésence des oiseaux (les mélodies des chanteurs d’oiseaux, le chant catalan de Casals, l’oiseau-prohète schumannien).

Me viennent enfin deux questions : – Une radio Web peut-elle s’adjoindre un écran et devenir subrepticement une TV web ? Pour JFZ passionné de cinéma (muet ?) et pour nous surtout ce serait une aubaine ! Ne trouvez-vous pas que ce cabaret classique réclame désespérément son écran ? – Quant aux oiseaux et à leurs sifflements mélodieux, comment ne pas songer à Olivier Messiaen en les écoutant ? Quelques pages choisies dans le célèbre Catalogue d’oiseaux, pourraient-elles un jour inspirer directement Jean Boucault, Johnny Rasse et JFZ ? Encore un voyage furtif en perspective, penserez-vous, c’est un moment à saisir au plus vite, maintenant que les mésanges se sont sauvées à la ronde en deux temps trois mouvements.

Mazurka

9 réflexions sur « Du onzième Cabaret Classique de Jean-François Zygel »

  1. Découvrant tardivement à  mon tour le talent de JFZ, je regrette de ne plus voir vos commentaires et me lamente (!) de ne pouvoir sur Mac, écouter les émissions.. comment faire

  2. Bonjour Castafiore, bien sà»r, tous les oiseaux du monde ont toute ma sympathie, John et Johnny les invités fétiches du Cabaret de JFZ, aussi ! Quant à  Olivier Messiaen, il était « un compositeur , « un créateur », un novateur, c’est surtout cela que je voulais signifier. Mais, bref… sinon, ta générosité, me touche beaucoup, je te répondrai dès que ma messagerie très capricieuse me le permettra. Encore Merci !

  3. Chère Mazurka, j’ai changé de pseudo parce que "Placido Alto" était rigolo mais – puisqu’on continue à  se "parler" – je préfère donner celui de "Castafiora" que j’affectionne particulièrement à  cause de la célèbre Bianca Castafiore, le rossignol milanais dans Tintin. Je vois bien que tu aimes beaucoup Messiaen – j’ai acheté quelques disques de lui parce que j’aime le chant des oiseaux (même celui des corbeaux !) et je n’ai jamais réussi à  écouter complètement du Messiaen. Mais je suis très limitée dans mes goûts en musique (et pas qu’en musique malheureusement) et parfois, il me faut du temps et des explications pour aimer.
    Avant, quand je chantais à  Boulogne avec Pierre Calmelet au Madrigal de Paris, Pierre arrivait à  me faire aimer presque tout ce que nous chantions , même Claude Prior (un vieux monsieur qui est mort maintenant et qui nous a donné bien du mal !) et même Edlund avec ses quarts de tons (aà¯e !) bref…. je crois que le mieux c’est que je t’envoie cette fameuse cassette toute mal enregistrée qu’elle soit car j’ai un matériel très antique. Je ne sais pas si je pourrai en faire un double mais tant pis, je l’ai assez écoutée et je peux bien m’en passer après tout. Tu y trouveras des réponses à  tes questions. Jean et Johnny sont de vrais oiseaux ! Ils sont très étonnants : en fermant les yeux, tu es dans l’atmosphère magique du peuple des oiseaux. J’avais trouvé un beau site sur les oiseaux de leur pays, la Picardie et j’ai écrit au photographe qui a pris de si belles photos des oiseaux des deux J. Il m’a répondu très aimablement. Je le dis d’ailleurs plus haut.
    Alors voilà , je te donne un de mes deux E-mails et tu me donnes ton adresse, je t’enverrai la cassette tout simplement. A bientôt, donc ! Bonne nuit. Miséricorde, il va encore falloir que je trouve le Captchi-Captcha ! Bon je me lance………. raté, je recommence………….

  4. Des oiseaux et de l’imitation

    Merci Placido Alto de tes commentaires, j’aurais bien aimé entendre cette émission de JFZ dont tu parles avec tant d’enthousiasme. Peut-être France –Musique rediffusera certaines de ces émissions- là  ? Apparemment tu aimes bien les chanteurs d’oiseaux et Maurice Ravel
    ( incontournable Ravel, le DVD consacré à  Ravel par Zygel est l’un de mes préférés) et Ma mère l‘Oye est une petite merveille. Ainsi, dans la fameuse émission FM de juin 2006, nos deux « JJ » n’ont pas reconnu facilement « leurs oiseaux » dans l’œuvre de Messiaen, mais bien plutôt dans celle de Ravel ? Ceci me laisse très songeuse. Est-ce que finalement Messiaen aurait consacré pour rien, plus de dix ans de sa vie à  ses catalogues d’oiseaux, à  ses oiseaux exotiques, sa chronochromie, et autres recherches incroyables en pleine nature, en tant qu’ornithologue chevronné et musicien ? Il prenait partout en notes ( en dictée musicale) leurs musiques improvisées, parfois même à  l’aube, sous les arbres, selon la légende bien connue . Serait-ce alors une question d’instrumentation , d’orchestration, bref de choix de timbre instrumental, tout ce qui rend méconnaissable dans les pièces de Messaien, les thèmes-sources pris à  la volée auprès des oiseaux ? Qu’avait donc interprété JFZ ce jour là  , tu as parlé de belle musique, étaient-ce « les petites esquisses d’oiseaux » au piano ? ( pas si faciles à  jouer) On peut se demander aussi si le piano est l’instrument adéquat pour signifier les voix souvent flà»tées des mésanges, merlettes et autres alouettes ? C’est sans doute gênant d’assimiler les sons du piano, frappés sur des cordes, aux sifflements des oiseaux ! Il y a forcément une transposition mentale à  opérer Le problème à  mon avis, réside dans cette idée d’imitation, et de reconnaissance immédiate. Messiaen n’a peut-être pas voulu « calquer » la voix des volatiles musiciennes Son geste de compositeur réside sà»rement ailleurs Il ne faut pas aller trop loin dans ce genre de raisonnement, et éviter tout boniment, bien sà»r , je te l’accorde! Mais je me demandais si on serait en mesure de reconnaître un chant d’oiseau précis dans l’Oiseau prophète de Schumann ? ou dans Le coucou de D’Aquin, le Coucou de Couperin ? et l’Oiseau de Pierre et le loup de Serge Prokofiev , il chante pour nous désormais un thème connu, mais n’est-ce pas un oiseau imaginaire ?
    Dans l’opéra Saint-François d’Assise de Messiaen, chaque personnage mis en scène, est annoncé par un thème musical, donc un chant d’oiseau différent, peut-être bien que John et Johnny pourraient s’amuser à  les reconnaître aussi ? Et chacun de nous aussi, en exerçant notre oreille un petit peuOn dit que Messiaen s’était même rendu dans des pays lointains
    ( au bout du monde) où¹ vivaient encore certaines espèces d’oiseaux ! Il voulait les connaître et prendre leur chant en note, les enregistrer ( voilà  un grand souci d’exactitude chez ce compositeur) . Il a ensuite utilisé quelques-uns de ces thèmes dans son opéraCeci dit, rien ne nous oblige à  tout apprécier en musique évidemment, chacun est libre, heureusement ! Ce qui est dommage c’est de rester figés dans des premières impressions, nos sensibilités doivent évoluer avec notre capacité de réception, c’est dans ce sens que l’on pourra peu à  peu écouter notre musique dite « contemporaine » et toute celle diffusée sur le site de JLF d’ailleursBref, le monde musical ravélien est peut-être plus proche et familier simplement de nos Maîtres- Chanteurs d’oiseau, Jean et Johnny ? Entre « imitation » et « création », il y a un écart considérable, les œuvres qui en résultent peuvent parfois nous déconcerter, c’est vrai. Certains univers musicaux sont particuliers et déroutants mais méritent d’être explorés, celui d’Olivier Messiaen, si poétique et « concret », fait parti de ceux-là . Reste à  s’y replongerNe penses-tu pas ?
    Et pour aller plus loin dans la provoc, dans la Valse dite du petit-chien de Chopin, qui parmi nous a jamais visualisé ce petit chien tournoyant si on ne lui avait soufflé le sous-titre juste avant ? Tout cela est purement mental et somme toute, pas si important, pourvu que la musique, elle, soit là  !
    Mazurka

  5. C’était le 21 juin 2006, sur France Musique.
    Jean et Johnny étaient invités par Zygel. Il leur a fait écouter d’abord le chants des oyseaux par A Sei Voci.
    Jean et Johnny sont amis d’enfance. Ils sont passionnés par la nature dans la Baie de Somme où¹ ils sont nés tous deux. Si tu regardes tibo.org- Diaporama Microsoft Internet Explorer, tu verras des photos magnifiques de la Baie de Somme en Picardie par un certain Tibo.
    Pour ce qui concerne Ravel, Zygel a d’abord fait entendre Ma Mère l’Oye (suite pour orchestre) – le Petit Poucet qui sème ses miettes de pain que les oiseaux vont manger. Les deux JJ ont reconnu le merle, le coucou et la mésange.
    Puis, le Lever du jour de Daphnis dirigé par L Bernstein – Ce lever du jour a eu l’air d’enchanter les deux JJ. L’un des J a dit qu’il a "senti cette ambiance, cette chaleur monter comme quand on assiste à  un lever de soleil en Baie de Somme" et que les oiseaux commencent à  échauffer leur voix. Il a ajouté que "étant puriste, (il) était émerveillé" par cette évocation de la nature.
    Quant à  Messiaen, les deux JJ ont été beaucoup moins enthousiastes. Ils ont reconnu quelques oiseaux mais ils disent que les oiseaux de Messiaen semblent avoir tous le même timbre alors que dans la nature, les timbres sont très différents. Ce moment de musique avec Zygel et ses "zoizeaux" a été pour moi un moment magique que j’ai eu la bonne idée d’enregistrer avec un matériel assez antique mais que je peux écouter de temps en temps avec émerveillement (sauf la version des Oiseaux par A Sei Voci que je n’aime pas – je lui préfère celle de l’ensemble Jannequin). J’espère avoir répondu à  ta question et excuse mon imprécision de ma première réaction….. Bonne nuit.

  6. Je pourrai te le dire jeudi car j’ai prêté la cassette à  quelqu’un que je vois demain.
    Vendredi, j’y serai bien sà»r, à  moins que le ciel ne me tombe sur la tête !
    Ciao, à  plus tard.
    Les captchas sont vraiment difficiles !!!!! Je me plante à  chaque coup !

  7. "un disque de Ravel, un concert qui évoque le lever du jour "
    Tu ne te rappelles pas quoi exactement?
    Vendredi 2/02/2007, JFZ traite du Scherzo à  la mairie du 20e.

  8. A la dernière question, je réponds non. Si tu écoutes une des premières leçons de Zygel sur France Musique l’an dernier, une des premières leçons où¹ ils invitent Jean et Johnny, il leur demande ce qu’ils pensent de Messiaen et si ce qu’il joue au piano leur évoque des oiseaux. L’un d’eux répond que non, ce que Zygel joue est de la "belle musique" mais que ça n’évoque aucun oiseau en particulier et même pas d’oiseau du tout. Puis Zygel passe un disque de Ravel, un concert qui évoque le lever du jour et là , nos Jean-Johnny disent que ça leur évoque exactement le lever du jour dans leur région de naissance avec "les oiseaux qui commencent à  s’échauffer la voix". Donc, tu vois qu’apparamment les deux Jean-Johnny ne semblent pas inspirés du tout par Messiaen. J’en suis ravi car moi non plus ! Ceci dit, j’adore Zygel et ses deux beaux oiseaux. Malheureusement, je ne peux aller au Cabaret (j’y suis allé seulement une fois en juin dernier je crois) car c’est le dimanche, jour sacré où¹ je vais voir ma vieille mère. Mais je continue à  aller à  la Mairie du XXme tous les mois. Salut et merci pour l’article !

  9. Super ce billet! Merci Mazurka, au nom de tous les adhérents qui vous lisent.
    Bon, je n’ai pas écouté l’émission, mais je vais aller sur le site de France Musique l’écouter pendant qu’il en est encore temps et j’essaierai d’enregistrer la partie de l’émission concernant la compo de JFZ et son armée de violoncelles, car ça m’intrigue. Eventuellement j’en mettrai un passage en ligne.

C'est avec plaisir que noues accueillons vos commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.